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30 novembre 2005

insolite

Des chercheurs italiens ont trouvé la "molécule tue-l'amour"

ROME - Votre coeur s'accélère, vous avez le trac, vous vous sentez euphorique, quoiqu'un peu bête, ce sont les effet de la passion amoureuse mais un groupe de chercheurs italiens vous dira que cela ne dure pas plus d'un an.

Les émotions intenses qui saisissent les nouveaux amants sont déclenchée par une molécule du facteur de croissance nerveuse (NGF), selon des scientifiques de l'université de Pavie.

Les chercheurs italiens ont découvert cette molécule en plus grande concentration dans le sang de 58 personnes récemment tombées amoureuses que dans le sang de célibataires ou de couples plus anciens.

Après une année passée avec la même personne, la quantité de cette molécule dans leur sang était revenu au même niveau que les autres.

Les chercheurs de Pavie, dont les résultats sont publiés dans la revue Psychoneuroendocrinology, ont admis ne pas savoir comment l'amour déclenchait une telle augmentation de niveau mais estiment que la molécule jouent un rôle évident dans la "chimie" qui opère entre deux personnes au début d'une relation

Un Iranien contraint à payer 10.000 ans de pension alimentaire à sa femme

TEHERAN  - Un Iranien, qui a divorcé de sa femme par consentement mutuel, a été contraint à verser à son épouse une pension alimentaire pendant 10.000 ans, a rapporté mardi le quotidien gouvernemental Iran.

Selon la loi iranienne, en contrepartie de la dot apportée par la femme, le mari s'engage à payer une somme d'argent ou un bien à la mariée. Celle-ci peut réclamer son dû pendant le mariage ou bien après le divorce.

Dans ce cas, le mari s'était engagé à verser 124.000 pièces d'or d'une valeur de 120 dollars chacune.

La femme ayant accepté de recevoir une pièce par mois, il faudra 10.333 ans pour que toute la somme lui soit versée, selon l'accord sanctionné par un tribunal.

Les singes aussi ont des accents

TOKYO - Des chercheurs japonais viennent de mettre en évidence que les singes ont des registres de cris différents, selon l'endroit où ils vivent, à l'instar des accents chez les êtres humains.

Les résultats de cette recherche, la première du genre, seront publiés dans une revue éthologique allemande début décembre, ont indiqué les chercheurs, mardi.

"Les différences de cris parmi les singes sont semblables à celles des dialectes des êtres humaines", a affirmé Nobuo Masataka, professeur d'ethologie à l'Institut de recherches sur les primates (Université de Kyoto).

L'équipe de chercheurs a analysé les timbres de deux groupes appartenant à la même espèce de primates, le Macaque de Yakushima (aussi appelé "Macaca fuscata yakui"), entre 1990 et 2000.

Le premier groupe était composé de 23 singes habitant l'île de Yakushima (sud du Japon), le second de 30 macaques de la même tribu qui avaient migré sur le Mont Ohira (centre du Japon) en 1956.

Les résultats de l'enquête montrent que les singes du groupe resté sur Yakushima ont un niveau de fréquence de cri supérieur de 110 hertz à celui du groupe du Mont Ohira.

Selon les chercheurs, cette différence s'explique par le fait que l'habitat simiesque sur Yakushima --de grands arbres--, bloque leur cri, les obligeant à hausser le ton, affirme le professeur Masataka.

"Les singes du Mont Ohira n'ont pas le même effort à faire, car ils habitent dans des arbres plus bas. Chaque groupe adopte donc un accent différent selon son environnement", en a-t-il conclu.

Cette enquête, suggérant que les différences de voix n'ont pas une origine génétique, pourrait "fournir la clé des origines du langage humain", a estimé le chercheur nippon

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