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15 mars 2006

insolite

Pour garder de la place pour les vivants, Shanghai réduit ses cimetières

SHANGHAI  - Pour permettre à ses 17 millions d'habitants de disposer de suffisamment de place, la métropole de Shanghai va réduire la taille de ses cimetières, selon le journal Shanghai Daily.

Pourtant, actuellement, la capitale économique et financière chinoise a le taux d'incinération le plus élevé, quasiment 100%, contre 51% dans toute la Chine, mais cela n'est pas suffisant aux yeux des autorités. Ces dernières souhaitent réduire des deux tiers la taille des concessions. Si actuellement, deux urnes peuvent être enterrées dans 3 mètres carrés, la municipalité envisage de réduire à seulement un mètre carré l'espace autorisé.

"Les terrains sont tellement rares", a expliqué au journal Liu Chunlin, directeur de l'Administration funéraire municipale. "Si nous ne réduisons pas les trous, bientôt tout le monde devra disperser les cendres dans la mer", a-t-il ajouté.

Selon le quotidien, si la taille des concessions n'est pas changée, il n'y aura plus d'espace pour enterrer les gens d'ici à dix ans.

Un poisson robot pour observer ses congénères 

TOKYO  - Des scientifiques japonais ont présenté cette semaine un robot pisciforme qui pourrait un jour être utilisé pour observer les poissons dans l'océan ou surveiller les éventuels dégâts sur des plateformes pétrolières.

Inspiré du koï, une espèce de carpe blanche, rouge et or populaire au Japon, le robot télécommandé est capable de s'orienter dans un aquarium en ondulant sa nageoire de façon très réaliste.

Long de 80 cm, le robot peut aussi utiliser des capteurs situés dans sa bouche pour mesurer le taux d'oxygène dans l'eau, paramètre important pour la santé des poissons, a expliqué le chef du projet, Tetsuo Ichikizaki, responsable de Ryomei Giken, une filiale de Mitsubishi Heavy Industries.

Les koï symbolisent la force et la bonne fortune au Japon, où ils ont été élevés pour leurs couleurs remarquables, au moins depuis le début du 19e siècle.

Le poisson robot, qui coûte 30 millions de yens (212.100 euros), ne subira probablement pas le même sort que ses congénères, coupés en tranches et dégustés sous forme de sashimis

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